Peut-on faire un saut à l’élastique sans endommager des implants mammaires ?

Denise Richards a récemment révélé qu’elle avait fait éclater ses deux implants mammaires en tournant Special Forces sur FOX. L’incident s’est produit pendant une scène à fort enjeu où elle était en train de « sautez d’un pont ». Richards a expliqué que son harnais était le responsable de ce dommage. Mais cela signifie-t-il que les sports extrêmes comme le saut à l’élastique sont à proscrire pour celles qui ont des implants mammaires ? Nous allons examiner comment les harnais corporels utilisés dans ces activités pleines d’adrénaline peuvent affecter les implants et ce que vous devez savoir avant de vous lancer.

Sports Extrêmes et Protection des Implants Mammaires

Les harnais de poitrine ou de corps, comme celui utilisé par Richards, sont assez courants dans les sports extrêmes. Pour des activités comme le saut à l’élastique, il existe plusieurs types de harnais, y compris des harnais pour les jambes et des harnais « assise », qui répartissent la majorité de l’impact loin de la poitrine.

Si vous souhaitez protéger vos implants mammaires, privilégiez les options qui se concentrent sur la taille et les jambes. Les harnais « assise » et de jambes peuvent être utilisés pour des sports extrêmes comme le saut à l’élastique et l’escalade, et sont parfois combinés pour offrir un soutien supplémentaire.

Types de Harnais et Risques

Le harnais « assise », qui s’attache à la taille et autour de chaque jambe, est le standard pour des activités comme l’escalade. Bien que les harnais en corps entier offrant un soutien supplémentaire puissent sembler plus sûrs, l’impact sur la poitrine peut entraîner des blessures traumatiques aux seins.

Cependant, pour certaines activités comme le parachutisme, les harnais se fixent presque toujours à la poitrine, ce qui peut également exercer une pression sur les implants mammaires.

Conclusion et Recommandation

Conclusion : Si vous prévoyez une aventure de saut à l’élastique, d’escalade ou de parachutisme, il est conseillé de consulter votre chirurgien plasticien au préalable. Il pourra évaluer les risques et vous fournir des recommandations pour minimiser les complications potentielles, comme celles vécues par Richards.